Je ne vais pas entrer dans le débat de savoir si Poor things de Yorgos Lanthimos est un film féministe ou l'inverse d'un film féministe, même si la question est intéressante et en fait un film intéressant à voir. Histoire d'avancer sur la question.
Je vais juste vous parler de la scène anthologique du bal.
De ce corps qui découvre la musique et la danse.
Et qui comme possédé, devient presque indomptable.
Elle n'est pas longue mais dit si bien comment la musique et la danse nous embarquent sur le chemin de la liberté. A commencer par la liberté de mouvement.
Ok j'avoue m'être dit que quelques ateliers de danse libre auraient rendu la créature plus indomptable encore, mais pour une première fois...
Alors, on danse ?
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